Blague Diverses Blagues Diverses
-
Le juge au prévenu :
- Le 25 juillet dernier, vous avez tué votre femme avec un marteau ... Le
reconnaissez-vous ?
- Oui, je l'avoue et j'ai fait croire qu'elle était partie en vacances!
Un homme dans la salle se lève et ne peut retenir ses cris:
- Enfoiré, salaud, fils de ... !
- Silence ou je ...
Le juge n'eut pas besoin de terminer sa phrase: l'homme s'est déjà calmé.
Le juge reprend l'interrogatoire :
- Le 9 septembre, vous avez tué votre belle-mère avec un marteau.
Reconnaissez-vous les faits ?
- Oui, je l'avoue ... avec un marteau.
À ce moment-là, la même scène se reproduit, avec le même homme :
- Enfoiré, salaud, fils de ... !
Le juge ordonne son expulsion mais, par pure curiosité, il lui demanda :
- Puis-je savoir qui vous êtes pour vous exciter de la sorte?
- Oui, Monsieur le juge ... Je suis son voisin de pallier et, chaque fois que
j'ai demandé à cet enfoiré de salaud de fils de ... de me prêter un marteau, il
a toujours prétendu ne pas en avoir!
- c'est un groupe de touristes qui visite les vestiges de la civilisation Maïa au
Mexique.
Alors que le groupe s'apprête à entrer dans un des temples, un des touristes
veut faire le malin et demande au guide des détails sur leur lieu de visite.
Le guide répond:
- Les fouilles concernant le site ne sont pas terminées. Il arrive encore de
trouver des poteries et des bijoux aux alentours du temple.
Pour ce qui est de l'âge du temple dans lequel vous allez pénétrer, on sait de
manière certaine qu'il a 2503 ans!
Le touriste est impressionné par le savoir du guide et reste muet. Par contre,
sa femme surenchérit tout de suite:
- Mais dites-moi, comment pouvez-vous être si précis?
- Oh, c'est simple. Il y a trois ans, lors de l'ouverture au public du temple,
les archéologues ont dit qu'il était vieux de 2500 ans.
- Donc, c'est un voyageur de commerce qui passe toute la semaine sur la route. Il
rentre chez lui tous les week-ends, et nous sommes justement un vendredi soir,
tard, la nuit est bien avancée. Il est encore au volant et il lui reste pas mal
de chemin à faire.
Il se trouve dans un coin paumé, le dernier bled qu'il a traversé est déjà à une
bonne vingtaine de kilomètres - le suivant n'est pas plus proche - lorsqu'une de
ses roues crève. Comme c'est son boulot d'être sur la route et qu'il est
organisé, il sait que sa roue de secours est OK, il se fait pas de soucis et se
met en devoir de réparer ça. Il sort avec sa lampe électrique, chope la roue,
puis s'aperçoit qu'il n'a pas son cric. Effectivement, le week-end précédent, il
s'en est servi et ne l'a pas rangé.
Il n'a d'autre alternative que s'armer de courage et de partir à pieds au
dernier village qu'il a traversé, où, se souvient-il, se trouve un garagiste qui
devrait pouvoir lui vendre un cric.
C'est donc une longue marche qui l'attend. Comme on est en hiver, une pluie
pénétrante commence à tomber et à le glacer jusqu'aux os. Il est dans le noir
complet, sa lampe électrique ayant rendu l'âme quelques kilomètres après son
départ.
Il commence donc à ressasser de noirs pensées, et à se parler à lui même :
- Est-ce qu'au moins cet abruti de garagiste va avoir un cric ?
- Ouais, bien sûr, tous les garages ont des crics. Mais, le mec, il va te voir
venir, ... dans ta situation, il va au moins t'en demander 500 balles ...
Quelques kilomètres passent, et il continue a rouméguer (terme occitan dont la
sonorité suffit à comprendre la signification) :
- Tu parles, il peut même t'en demander 1000 balles, de toutes façons, t'as pas
le choix.
Exacerbée par l'absurdité de la situation, par les éléments qui se déchaînent
contre lui, une sourde colère croît en lui au fil des kilomètres, et il continue
son dialogue intérieur :
- T'es complètement à sa merci, mec. Il peut même te le vendre 2000 balles, son
cric, et toi, comme un con, t'auras qu'à la fermer et payer ...
Il arrive enfin en vue du bled, et il aperçoit l'enseigne du garage. Il
rassemble le peu de forces qui lui restent et force le pas, continuant à
rouscailler:
- Tu vas voir que ce connard est capable de t'en demander 3000, 4000 balles. Tu
parles, c'est pas tous les jours qu'il trouvera un tel pigeon.
Arrivé au portail du garage, il commence à tambouriner. Pas de réponse. Il
s'active derechef pieds et poings contre le portail, une tête hagarde de sommeil
se pointe alors à une fenêtre du premier étage. C'est alors que le voyageur de
commerce, au comble de la fureur et avant que l'autre ait pu placer un mot, lui
hurle :
- ESPÈCE D'ENCULÉ, TU SAIS OU TU PEUX TE LE COLLER, TON CRIC, ...
- Deux tribus se livrent bataille depuis de décennies et la première tribus se
fait toujours massacrer. Un explorateur décide d'aider la faible tribus.
- Bonjour à toi grand chef. Je vais t'expliquer comment on gagne lorsqu'on est
plus faible.
Le missionnaire met sa main devant un mur et dit:
- Frappe
Le chef interloqué ne sait que faire
- Frappe je te dis!
Le chef se décide et assène un violent coup de poing sur la main de
l'explorateur, qui retire vivement sa main laissant le chef hurler de douleur.
- Ça c'est la ruse, c'est avec ça que vous gagnerez !
Le chef, ayant compris la leçon, s'empresse d'aller enseigner ce qu'est la ruse
à ses guerrier.
- Écoutez-moi, j'ai le secret pour vaincre
- Que faut-il faire, Oh grand chef.
- Il faut utiliser la ruse...
- Mais qu'est ce que la ruse ?
Le chef met alors sa main devant et son visage et lui dit
- Frappe !!
- C'est un installateur de moquette qui est en train de finir de placer une
moquette de 50 mètres carrés dans le séjour d'une grande maison.
Après plusieurs heures passées à tirer, étirer et pousser dans tous les sens, le
gars s'assied pour savourer une bonne cigarette. Mais en portant la main à sa
poche de chemise, le gars ne trouve pas son paquet de clopes...
Tout de suite, il regarde sa moquette, et naturellement, il voit une bosse en
plein centre de la moquette qu'il vient de finir de poser!
Pas décidé à tout recommencer, le gars prend son maillet et méthodiquement,
s'emploie à aplanir la zone bossue. Heureusement, ça marche, et le gars peut
quitter la maison l'esprit tranquille de celui qui a bien travaillé.
Le gars monte alors dans sa camionnette pour rentrer chez lui. Sur la route, il
s'aperçoit que son paquet de cigarette était en fait dans la boite à gants. Au
même moment, son téléphone portable sonne, et c'est la maîtresse de maison chez
qui il vient de poser la moquette qui appelle:
- Nous ne retrouvons plus le hamster du petit; il a du s'échapper...
Vous ne l'auriez pas vu dans la maison pendant que vous posiez la moquette?
- c'est un groupe de touristes qui visite les vestiges de la civilisation Maïa au