Blague Internationale Blagues Internationale
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Staline est mort, et arrive dans l'autre monde, ou il rencontre Pierre le Grand.
Celui-ci lui demande:
- Alors, qu'as-tu fait de ma Russie??
- Je l'ai rendue plus forte que jamais!
- Très bien! Il y a toujours l'armée? Et la police secrète??
- Bien sur que oui!
- Les compagnies de cosaques?
- Bien sur!
- Les tours du Kremlin?
- Toujours! Et en parfait état!
- Bien! Et la Vodka, toujours à 38 degrés??
- Non, quarante!
Alors étonné, Pierre le Grand regarde Staline, et lui fait:
- Deux degrés de différence?! Et c'est juste pour deux malheureux degrés que
vous avez foutu tout ce bordel!?
- Pourquoi est-il interdit d'arroser les plantes en URSS?
- Parce que ça fait rouiller les micros
- En 1989, les troupes russes quittent l'Afghanistan. Tous les soldats sont fous
de joie de rentrer chez eux, sauf un:
le deuxième classe Ivan Popov, qui se porte volontaire pour rester à Kaboul.
- Voilà un véritable héros du peuple ! s'exclame son général. Convoquez-le dans
mon bureau.
Cinq minutes plus tard, le soldat Popov est au garde à vous devant son général.
- Alors tu es volontaire pour rester en Afghanistan ? demande ce dernier.
- Da, camarade général.
- Tu veux lutter contre l'impérialisme américain et soutenir le combat
révolutionnaire de nos frères afghans ?
- Euh...Da camarade général.
- Bravo! Tu seras décoré! Ça fera plaisir aux gens de ton village!...
Au fait, d'où es-tu originaire, Popov ?
- De Tchernobyl, camarade général.
- C'est une vieille blague, ça date d'avant la chute du mur de Berlin.
Au la fin d'une visite de Honnecker [président de la R.D.A.] en URSS, Andropov
décide de prendre un bain de foule sur la place rouge avec son invite.
Au bout d'un moment, il avise un gosse, s'approche de lui et demande :
- Dis-moi, petit, qui est ta mère ?
- Ma mère, c'est notre glorieuse patrie l'URSS, camarade Andropov !
- Et qui est ton père ?
- C'est vous, le père spirituel de tous les russes, camarade Andropov !
- Et qu'est-ce que tu veux devenir quand tu sera grand ?
- Un bon communiste !
Et Andropov, satisfait, s'éloigne. Honnecker est très impressionne. Alors, il
invite Andropov en R.D.A., et a la fin de son séjour, il 'organise' un bain de
foule a Berlin. Pendant qu'il se promène dans la foule avec Andropov, il aborde
un gosse :
- Dis-moi, petit, qui est ta mère ?
- Ma mère, c'est ma patrie la république démocratique allemande, camarade
Honnecker !
- Et qui est ton père ?
- C'est vous le père spirituel de tous les allemands, camarade Honnecker !
- Et qu'est-ce que tu veux devenir quand tu sera grand ?
Et le gosse, sans hésiter :
- Un orphelin !
- (avant de commencer, je précise que je parle pas de toto, mais bien du maréchal
Tito... pour ceux qui savent pas, c'est un vieux gars yougoslave)
Tito règne, comme nous l'apprennent les livres d'histoire, avec une poigne de
fer sur la Yougoslavie fraîchement vidée des occupants. Comme le rude maréchal
est soucieux de connaître l'opinion du peuple (ça les livres d'histoire n'en
parlent pas...), il décide d'aller incognito prendre ses renseignements.
À la sortie d'une usine (mettons, une usine de Yugo... la petite soeur difforme
a la Lada), il se mêle aux ouvriers qui rentrent chez eux et en prend un a part.
'Dis moi, camarade, qu'est-ce que tu penses de Tito ?
D'un air affolé, l'homme prend Tito par le bras et l'emmène vers l'arrière de
l'usine. Il jette partout des regards soupçonneux, et vérifie que personne ne le
suit. Ils entrent dans le sous-bois qui jouxte (ouah, le vocabulaire qui tue)
l'usine, marchent pendant une bonne heure, et l'homme n'a pas l'air de vouloir
s'arrêter. Tito, vraiment très intrigué, préfère jouer le jeu et ne dit rien.
Quelques kilomètres défilent, tandis que Tito est toujours tiré en avant par
l'ouvrier. Le maréchal est de plus en plus curieux et comprend de moins en moins
ce qui lui arrive.
Le soir tombe dans la campagne yougoslave, quand l'homme s'arrête enfin, après
avoir parcouru encore quelques bornes par des chemins tortueux et des sentiers
abandonnés, au milieu d'une petite clairière. Il jette encore quelques coups
d'oeil inquiets de chaque côté, avant de s'approcher de Tito et de lui glisser à
l'oreille :
'Eh bien, tu sais, moi, Tito...
- Oui, camarade, alors ?
- Eh bien, moi... Tito, je l'aime bien !'
(in Le communisme est-il soluble dans l'alcool ?, si ma mémoire est bonne...)
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- Pourquoi est-il interdit d'arroser les plantes en URSS?