Joke Les Vieux
-
C'est un vieux monsieur de 75 ans qui passe une semaine dans un hôtel 5 étoiles
avec une toute jeune femme pour son voyage de noces.
Le matin suivant leur arrivée, le vieux monsieur arrive dans le restaurant pour
petit-déjeuner (ce parisianisme est vraiment ridicule!) en arborant un grand
sourire.
Il se sert un énooorme déjeuner, parle gaiement avec ses voisins de table,
plaisante à tout va.
Une demi heure plus tard, sa jeune épouse pénètre à son tour dans le restaurant
l'air hagard. Elle commande un café d'une voix tellement faible que le garçon
doit lui faire répéter sa commande...
Lorsque son mari a terminé son repas pantagruélique, il s'excuse auprès de sa
femme, et remonte dans leur chambre.
À ce moment, le garçon qui se posait plein de questions au sujet des nouveaux
mariés aborde la jeune femme:
- Euh, madame, si je puis me permettre, vous avez l'air réellement fatiguée.
C'est étonnant, d'autant plus que votre mari, lui, tient une forme incroyable...
La jeune femme répond:
- Ce type m'a bien eue! Il m'avait dit qu'il avait économisé pendant 50 ans! Et
je m'étais toujours dit qu'il voulait parler d'argent...
- Trois petits vieux sont assis au soleil sur un banc et parlent de leur misères, comme tous les jours...
- Ah, dit le premier, ce matin, quand j'ai monté les escaliers, j'ai dû m'arrêter toutes les 3 marches pour souffler!
' Ah les jambes, les jambes' se plaignent les trois petits vieux en coeur...
- Moi, dit le second, je ne digère plus rien, hier soir j'ai mangé du poulet, ce matin quand je rotais ça sentait la basse-cour..
' Ah l'estomac, l'estomac' se plaignent les trois petits vieux en coeur...
- Moi, hier soir, dit le troisième, je me suis retourné vers la Fernande pour la lutiner un peu. 'Ben qu'est ce qu'y te prend' qu'elle me dit, 'ça fait pas une heure que tu m'as déjà monté dessus!'
' Ah la mémoire, la mémoire' se plaignent les trois petits vieux en coeur...
- Dans un hôpital, au service de gériatrie, un médecin mène une expérimentation sur la perte de mémoire auprès de trois vieillards.
Il demande au premier:
- Combien font 'Trois fois trois'?
Le vieillard répond:
- 156
Le docteur demande au second:
- Combien font 'Trois fois trois'?
Le deuxième vieillard répond:
- Mardi
Le docteur demande alors au troisième:
- Combien font trois fois trois?
Le troisième vieillard répond:
- Neuf
Le docteur, heureux qu'au moins un de ses patients ait la réponse juste demande:
- Et comment êtes-vous parvenu à ce résultat?
- Simple... J'ai ajouté Mardi à 156, j'ai divisé par 2 et j'ai obtenu 9.
- L'histoire se passe pendant la seconde guerre mondiale. Les allemands bombardent
une petite ville, les immeubles tombent comme des châteaux de cartes.
Après le bombardement, on fouille les décombres, à la recherche d'éventuels
survivants. On trouve sous les gravats un petit vieux assis sur les chiottes qui
se tord de rire, et tient un petit morceau de bois dans la main.
Les secours: 'Et ça vous fait marrer, hein ???' Le pépé: 'Oh, bah pour sûr !!!,
c'est la première fois que quand je tire la chasse, toute la maison vient
avec...!'
- C'est Roger et Germaine. Ils ont tous les deux entre 70 et 80 ans, et ils
viennent de se marier.
Leur nuit de noces, ils la passent à l'hôtel, comme les jeunes.
Pendant que Roger passe à la salle de bains, Germaine décide de se chauffer un
peu les muscles (il y a tellement longtemps, elle ne voudrait pas attraper une
crampe...)
Elle fait d'abord bouger ses orteils, puis elle fait des mouvements avec ses
bras. Ensuite elle se couche sur le lit pour faire quelques moulinets avec les
jambes. Plus tard, elle veut essayer de placer ses chevilles derrière les
oreilles (comme elle faisait quand elle était jeune).... Mais gros problème:
Elle se coince alors les pieds dans les barreaux du lit!
C'est au moment où elle fait des efforts désespérés pour se dégager que Roger
rentre dans la chambre et s'écrie:
'Germaine! Nom de Dieu, donne-toi un coup de peigne et mets ton dentier!
Comme ça tu ressembles vraiment à un trou du cul!'
- Trois petits vieux sont assis au soleil sur un banc et parlent de leur misères, comme tous les jours...